« Dry January » est un « challenge » du Nouvel An qui consiste à faire une désintoxication des pratiques de festivité de fin d’année notamment en évitant la consommation d’alcool durant tout le premier mois de l’année. Plus que des avantages pour la santé, voici quelques-uns de ses innombrables bienfaits.
Il s’agit pour les participants à ce challenge de passer un mois sans consommer une goutte d’alcool. Ainsi, ces buveurs espèrent compenser les excès de fin d’année. Ils se proposent alors de relever le défi du fameux « Dry January ». Ce challenge est bien connu du monde et a même un site internet dédié à la cause.
En effet, pour le site dédié au challenge, l’idée consiste à « casser des habitudes » en quelques semaines « pour s’engager sur un rapport peut-être plus modéré et plus sain à notre consommation à long terme».
Des bénéfices pour la santé et une belle peau
Nombreux sont les avantages pour ceux qui s’y prêtent au jeu. « Cette abstinence assurerait une perte de poids, un meilleur sommeil, une économie d’argent, ou encore une belle peau » souligne le site français « Le Figaro » à ce sujet. Le média a consulté Valérie Espinasse qui est une micro-nutritionniste qui a fait l’éloge des bienfaits de ce challenge pour la peau.
« L’alcool sollicite le foie qui est un organe émonctoire, et donc qui élimine les déchets. Si on en consomme beaucoup, l’activité hépatique se voit saturée et c’est alors la peau qui prend le relais ».
Résultat, boutons, rougeurs et teint gris font leur apparition. « Même si tout le monde ne réagit pas de la même manière : certains verront apparaître un bouton dès le premier verre, d’autres n’auront jamais de réaction », précise la spécialiste pour le média.
En revanche, pour les Dry challengers, poursuit Valérie Lespinasse au Figaro : « Dès 10 jours, on peut constater une amélioration. Et au bout d’un mois, la différence est indéniable. D’autant que ce challenge s’accompagne souvent aussi d’une alimentation plus saine ».
Mieux réintroduire l’alcool
Cela peut paraître difficile au début. Mais, la spécialiste assure [que] : « l’idée, c’est de réintroduire progressivement l’alcool bien sûr, mais aussi de ne pas retomber dans ses mauvaises habitudes. On peut essayer de réduire de moitié le nombre de verres que l’on prend par semaine en se donnant entre 15 jours et trois semaines pour installer tout cela ».
Donc, un mois sans alcool n’est pas une punition en soi. Après tout, après quelques semaines de consommation quelques fois excessives, une désintoxication s’imposerait d’elle-même. Rajouter aux multiples bienfaits de ce challenge, pourquoi ne pas l’essayer ?
Source : Le Figaro